clair obscur
Tu te fous de mes mots
Et de mes sens obscures
Petite pattes de mouches
Dans l’univers intense
Un souffle sans rature
Sur tes joies insolentes
Pourtant quand je dis je
C’est à toi que je pense
J’écris, je cris , j’écris
Pour violer tes absences
Je cris, j’écris , je cris
Contre le ciel immense
Rien n’ébranle le temps
Aux yeux d’indifference
Tu te fous de mes mots
Et passe tes silences .
mirotine